L'Aventurier (Et une chanson dans la tête) (QUETE)

Je suais de chaleur non ressentie et de peur, mes vêtements étaient des éponges gonflées d’eau. Je tremblais de tout mon être tandis que je cherchais des cachettes à l’abri des regards des criminels et des gardes, mais c’est terriblement compliqué. Je crus même mourir (même en l’étant déjà) quand un garde frôla ma cachette précédente, cherchant un objet à la limite de me toucher. Il m’arrivait de glisser avec le stress mais comme dit plus tôt, on m’entendait à peine dans ce cratère immense. Je rentrais dans un ascenseur à quatre pattes tout en activant le levier. Par chance personne ne remarqua l’ascenseur fantôme et je quittais comme je suis venu ma nacelle pour le deuxième étage. Combien y’en a-t-il ? Rien que les deux premier je suis dans l’effroi le plus total. J’eus alors une petite idée de génie. Tendant ma main vers moi et caché derrière une pile de caisses en métal, j’ouvris un portail à ras le sol afin d’invoquer une timeline d’un de ces gars, qui m’aidera à passer plus facilement inaperçu. Je me cachais derrière ses rondeurs (car oui j’ai choisit le plus large de taille) malgré qu’Error s’amusait à m’effrayer en me menaçant de venir ruiner ma mission. Il me menait par le bout du nez dans l’inquiétude. Mais qui était la voix derrière lui qui l’empêchait de venir s’exécuter ? Rien ne l’empêchait réellement de m’entraver et normalement il n’attend pas aussi longtemps pour mettre une menace à exécution. Je remerciais cet ange gardien inconnu de gérer mon plus gros soucis et je guettais maintenant d’accéder au troisième étage. Je m’arrêtais brusquement derrière mon protecteur du jour car des gars bossant ici vinrent à lui pour parler. Encore heureux qu’il était de mon côté et joua son rôle à merveille. Ce qui me fit le plus crier d’horreur en silence, c’était ce regard que j’avais croisé dans la cellule en face de moi. Le criminel à l’intérieur traîna son corps jusqu’à moi, ses rides, ses cernes, ses yeux ternes qui ne me lâchaient plus. Il frappait sur les barreaux en poussant des bruits étranges et je crus à la fin. Mais l’un des types se dirigea vers la cellule sans me remarquer pour repousser le frêle type, en annonçant que même muets les gars ici peuvent être bruyants. Il était muet ! Je suis sincèrement désolé pour lui mais il n’a pas pu trahir ma présence, alléluia ! Le temps que ces types gèrent le prisonnier du deuxième étage qui ne pourra jamais me dénoncer, je partis à l’anglaise avec mon compagnon. Malgré la chaleur de ce trou, il me fait froid dans le dos. Une passerelle nous permettrait de passer de l’autre côté du deuxième étage afin d’accéder à l’ascenseur pour le troisième étage. Je le suivais à la trace en guettant les regards puis…Un craquement nous immobilisa au milieu de la passerelle. Elle semble abîmée, il y a tant de transports que ça ici ? Je tremblais en essayant d’avancer ensuite au rythme de mon camarade. On allait en atteindre le bout mais la passerelle craqua à l’un de ses bouts et nous penchâmes. Mon partenaire sût se rattraper au bord mais sa main n’attrapa pas la mienne, je tombais alors. Mes cris ont sûrement alertés tous les types du coin. Je voyais le troisième étage me passer sous le nez et je me cognais brutalement au sol du quatrième à priori. Mon écharpe m’épargna des lésions au crâne, mais qu’est-ce que ça fait mal ! Je ne pouvais observer actuellement que le ciel qui devenait de plus en plus sombre au fur et à mesure que je m’enfonçais dans ce sinistre lieu. J’allais être repéré c’est sûr. Je m’étais redressé avec un léger mal de tête à l’arrière du crâne pour observer un étage en travaux. Tiens ? Pas de prisonniers, pas de gardes… Mais il y avait du sang partout… A mon triste avis, un drame s’est produit ici et ils ont dû réagir. Une fois remit en état de continuer, j’admirais du bord le fond encore loin de la prison dans un ravalement de gorge. Pourquoi y avait-il de moins en moins de cris ? Ce sont littéralement des démons qui doivent siéger au cœur de cet enfer. Je n’avais plus mon partenaire car mon pouvoir a cessé et il est repartit, et Error ne donnait étrangement plus de nouvelles. J-J…J’ai peur…
« In… »

Je n’ai pas prit l’ascenseur de cet étage car il me semblait bien plus risqué que la passerelle précédemment. Je glissais le long des cordages avec précaution en évitant de regarder trop longuement le vide. Une fois pied au sol du cinquième étage, je savais que j’allais mettre bien plus de temps à descendre celui-ci car il y avait plus de vie ici. Cela redoublait de gardes vu que les criminels ici devenaient de plus en plus dangereux. En réalité, descendre est bien plus aisé que remonter ; surtout avec un criminel dangereux. Je devais redoubler de discrétion et tenir bon. Je m’appuyais sur un mur pour vérifier quelque chose qui s’avérait vrai : La lisseur, afin d’empêcher la fuite. Je ne pourrais donc pas en faire une quelconque utilité. J’avançais malgré tout en longeant les murs et esquivant les cellules. Ici, les types étaient enchaînés et muselés comme des bêtes, leurs pouvoirs scellés de différentes façons. On s’enfonçait vraiment dans le gravissime. C’était certainement des tueurs ou des génocidaires. J’ai frôlé de trop près l’une des cellules et un bras déchaîné s’empara de mon épaule, m’attirant contre les barreaux. C’était une femme à priori mais qu’est-ce qu’elle était laide ! Incapable de me défaire de son étreinte dont elle s’amusait, elle fit animer le reste de nombreux prisonniers de l’étage qui firent une bruyante émeute. Les gardes avaient beau hurler, ils continuaient leur tapage avec rires et ricanements effrayants. Ah non pas l’écharpe lâchez-ça ! Je me débattais pour récupérer mon dû jusqu’à obtenir une aide de quelqu’un qui coupa littéralement ces mains voleuses à l’aide d’une arme blanche, laissant la laide femme se recroqueviller au fond de sa cellule en hurlant et en saignant. J’en tombais sur le coxys en serrant mon écharpe. Je me retrouvais entouré de nombreuses personnes qui m’observaient surpris. Oups… Je me fis soulever par le col pour faire face à un visage couverts de cicatrices et de suit, les yeux sombres et petits, m’observant de haut en bas. On m’avait bien conseillé les pots de vin mais de un je ne sais pas en faire, de deux j’en ai pas en fait. Je souriais péniblement d’un air gêné, évidemment, qu’est-ce que je faisais là ? C’était fichu ils allaient me remonter et seraient dorénavant plus vigilants. Je n’avais pas le choix que de supplier en silence qu’Error réagisse. Des fils sortirent du sol par des glitches, puis autre chose aussi, des liquides colorées arrosèrent les gardes surpris tout comme moi qui me retrouva à manquer de tomber de nouveau dans le trou, mais une main gantée qui m’était inconnue me saisit et son visage me rappela étrangement deux autres : Moi et Error. Il était étrange mais il émanait une énergie incroyable et positive. Me rattrapant, ils avaient mit au tapis ces types et l’émeute devint plu intense, tous tapaient sur leurs barreau en riant et en criant d’amusement. On changeait sûrement leur quotidien de prisonnier à arriver ainsi comme des monstres. D’ailleurs mon premier partenaire ne me jeta aucun regard et tissait ses fils sur les parois en observant l’étage suivant. Mon nouvel ami se présenta à moi d’une voix agréable sous le nom de « Ink ». Me serrant la main une fois de plus, il était donc comme moi et Error mais il était absent durant mes débuts vu qu’il était ailleurs à aider ce qu’il appelle les « créateurs ». Mais toute cette histoire fut mise de côté, on avait plus important et urgent à faire ! On descendait à l’aide des fils d’Error pour le 6ème étage, il me semble qu’on se trouve 50% du puit. Une fois arrivée à ce nouvel étage, Error prit le soin de s’absenter, me laissant seul pour découvrir mon deuxième compagnon et ses talents d’artiste. Au 6e, c’était des colosses qui étaient enfermés là et l’émeute du dessus les avaient fait réagir, maintenant toute la prison riait de cette façon étrange. Les gardes étaient préoccupés et étaient déployés dans tous les sens. Ink me cachait sous des peintures qui ressemblaient au décor, nous avancions plus rapidement jusqu’à notre prochaine destination. La peur était moins présente à ses côtés.
« Ink ! »

Nous étions au 6e étage à nous cacher, ce type n’était pas un génocidaire comme Error et ne voulait pas tuer qui que ce soit. Il préférait user actuellement de la ruse (Car on a ni la carte Kiwi  ni la recette de la crème pâtissière en vrai…). Jetant des objets qu’il avait dessiné lui-même pour attirer l’attention ailleurs. On allait quitter cet étage en nous approchant de l’ascenseur quand des cris derrière nous attirèrent mon attention, un des prisonniers s’était enfui et se déchaînait sur ses geôliers.  Pour une fois, nous étions deux d’accord pour aider sans nous faire remarquer ces types. Ink dessina un filet solide fait d’une encre molle et avec mon aide le balança sur le monstre. Malheureusement cela n’arrêta pas le fou qui se rua sur nous sans le savoir et nous bourra dans l’ascenseur avec lui brutalement, celui-ci s’abîma et ses câbles nous lâchèrent pour une chute libre. Je voyais les étages chutaient à grande vitesse, mon dieu, cela m’aurait prit une semaine à descendre tous ces étages à pied ! Comment les Rossois font-ils ? Ils n’ont que ça à faire de leurs journées ? Ink me saisit par la taille pour tenter de nous projeter à  un hasardeux étage sans s’écraser au fond avec l’autre boulet. Les gardes alertés se dirigèrent tous vers les derniers étages et nous avions champ libre même avec les cris des prisonniers qui voudraient nous dénoncer.  On se relevait tout en douceur, je ne pouvais plus vous dire le numéro de l’étage en question, mais la chaleur était telle, la lumière rouge flamboyante des entrailles de Rosso, nous n’étions plus loin de la fin. Ink vérifia que j’allais bien avant qu’on ne reprenne notre chemin. Tous les regards sous les barreaux étaient dirigés ver s nous et nous parlaient, chuchotaient des choses malsaines pour la plupart. Certaines disaient que nous étions idiots d’êtres venus ici. C’est vrai qu’avec les quelques soucis que j’ai causé dans ce puits, si je me fais prendre, on va me faire ma fête. Les voix dans ma tête, c’étaient toutes celles de ces personnes sous d’autres timelines, c’est désagréable ce brouhaha mental…  J’essayais de ne pas regarder les prisonniers effrayants et Ink n’hésita pas  à me soutenir de son regard bienveillant. Plus j’y repense, plus je me dis que le docteur me faisait une blague, une horrible blague, voir il était de mèche avec Dead c’est obligé.  Qui était cette personne ? Les gens étaient malsains ici, donc plus bas…On me demandait de remonter le diable en personne ou bien ? On pouvait voir enfin d’ici les derniers étages mais il fallait être très discret car ils étaient tous en bas à admirer une explosion d’ascenseur et un cadavre. Pauvre de lui, criminel ou non, que Malva ait pitié de lui et le prenne sous son aile. Qui sait, dans l’au-delà il trouvera la paix psychologique. Ink me traînait car j’étais distrait par ce macabre spectacle à nous cacher à quelques mètres des gardes, mais à l’avant dernier étage. Ils parlaient tous entre eux d’un intrus et je me sentais tristement concerné.  La Reine Nova me prendra malgré moi pour un criminel à mettre à son tour en prison, sob. Nous allions maintenant procéder à l’infiltration au dernier étage pour la rencontre avec le criminel en question. Donc nous devions voler des clefs de cellules et passer incognito.

Durant notre plan assez classique mais ingénieux, je remarquais par un petit trou dans le sol que nous n’étions en réalité pas du tout mais certainement pas du tout au fond. Seulement à la limite de la vie, voir de la survie, humaine. Je me demandais jusqu’où irait ce puits infernal et le drame que pouvait être que d’y tomber malencontreusement. Mort lente par brûlures intenses avant même d’avoir touché le fond je dirais. Le temps de ma remarque sur ce trou me prouvant que j’étais loin de la fin mais que ma quête se terminait à cette profondeur, Ink avait saisit les clefs à l’un des types à l’aide de sa délicate peinture, mais il avait semé le doute dans le groupe vu que l’homme avait remarqué l’absence de son trousseau, et ce n’était pas bon du tout ! On priait de ne pas être remarqué et Ink fit l’incroyable pour moi : Il me passa les clefs et sortit de sa cachette pour entraîner à sa suite les gardes intrigués par ce fuyard inconnu. C’était le moment ou jamais de foncer vers les cellules. Mais lequel était celui que je devais libérer ? Une erreur et je risque de libérer un vrai démon dans Rosso et je m’en mordrais intensément les os des doigts à ne plus en sortir de ma chambre. Je scrutais rapidement chaque cellule en essayant de parler. Je demandais à qui connaissait le Docteur Fantasia, s’ils n’étaient pas des menteurs prêts à tout pour quitter ces taudis brûlants de chaleur, bien sûr. Car ces barreaux brûlaient au toucher et rougissaient avec la température. Certains ne prêtaient pas attention à moi avec leurs imposantes carrures en tailleurs me tournant le dos comme si ils étaient habitués à l’intense torture physique et mental de cet étage. Jusqu’à qu’une voix accentuée me répondit enfin non loin dans une cellule à deux pas de moi.
« J’ignorais que le Docteur prenait encore soin de mon état. »
J’avançais à petits pas vers la cellule en question, la sueur et l’inquiétude me montant au crâne. Sa voix était grave et posée, à quoi ressemblait le bonhomme ? Je voyais un grand costaud couverts de cicatrices et de bandages, limite enchaîné tant sa force était comparable à un dragon occidental. Pour au final tomber sur un petit bonhomme surprenant. Dans les tons bleus et qui ne dépassait même pas ma taille. Il se redressa de sa position assise pour se diriger vers moi sans toucher les barreaux et me fixer. Une discussion s’engagea alors entre nous tandis que j’ouvrais la cellule, prenant confiance en ce personnage.
« Je suis NoiseMaster, tout le monde me pensait mort suite à quelques accidents mais on m’a enfermé ici car je peux entendre le son de la lumière ! Vous me croyez jeune squelette, n’est-ce pas ? »
Je comprends maintenant pourquoi le Docteur aimerait le voir.
« B-B…Bien sûr !Moi c’est Without ! S-Suivez moi, il ne faut pas traîner ici, ils risquent de revenir ! »
« Je peux partir d’ici seul voyons ! »
Il comptait partir de son côté, ma quête s’était hardi avec son acte débile. Je le saisissais par les épaules pour l’obliger à me suivre de gré ou de force, monsieur la star n’allait pas faire ce qu’il voulait maintenant, alors qu’il ne me restait plus qu’à remonter avec lui !
(HRP : Oui c’est bien NoiseMaster XD Star m’a autorisé à le prendre mais ne craignez rien son temps sera un jour venu mdrrrr)

Au moment où j’étais entré dans l’ascenseur pour l’étage du dessus, une voix dans mon esprit amusée me répondit avec une certaine tendresse qu’il avait divertit les gardes pour un moment en dessinant des trompe-l’œil perturbants. J’aurais assez de temps pour au moins traverser deux étages sans problèmes. Mais je me retrouvais seul avec ce type dissident à gérer. Il parlait tout seul de sa future invasion de Yume mais j’avais du mal à le croire, non pas pour son physique mais pour son délire d’entendre la lumière. Même moi qui ne connaît rien en physique-chimie, je doute que quiconque en est capable. Je le tirais du mieux que je pouvais et lui couper la parole quand un garde manquait de nous remarquer. Malheureusement il finit par vouloir faire le malin et fabriqua avec quelques babioles et de la corde un petit robot qu’il leur lança. Très bonne idée de diversion, si seulement il n’était pas sortit de sa cachette comme si son pauvre petit robot pouvait tenir tête à un millier de gardes au regard éberlué qui se sentaient jugés comme faibles et peureux. Leurs regards furent ceux de taureaux féroces et la course poursuite commença entre eux et moi. Oui moi car ce type ne m’aide vraiment pas à le sortir d’ici. Il devrait être content que quelqu’un puisse encore s’occuper de son sort et qu’un autre risque actuellement sa vie et son honneur sur Yume pour sa pomme. Je le fis traverser un portail en ma compagnie dans un sprint suivit d’un saut. On passa entre Error et Ink. Comme si un ralenti s’était produit, je pouvais croiser le regard du noir, sombre et le visage baissé aux yeux levés sur l’erreur qu’est le titre qu’il me porte. De l’autre côté, le blanc, aux tâches de couleurs, sourit brutalement, il savait que je pouvais le faire ! Il me portait une confiance absolue à peine rencontré et je m’en sentais empli, comme une détermination nouvelle pour sortir NoiseMaster de là avec badassitude. Une fois le ralenti disparut, ma main tenant celle de Noise, je passais dans un autre portail juste en face du notre nous portant un étage plus haut. Les gardes allaient nous rattraper. Je ne ferais pas ça très souvent car passer brutalement comme ça c’est épuisant et je n’ai pas le niveau à ça en vérité, donc mieux vaut arrêter les bêtises. Au moins j’ai sauvé notre peau pour le moment et nous courions en montant les étages à l’aide des cordes et des ascenseurs en grimpant dessus pour aller plus vite. Le petit bleu avait beau se plaindre, il me suivait malgré tout. L’un des ascenseurs qu’on avait escaladé tanguait et des gardes l’avaient attrapé pour nous tirer à eux. J’avais vu une des cordes manquant de lâcher, elle allait donc remonter à toute vitesse vers le haut, c’était ma chance. L’adrénaline me poussa à saisir la corde et NoiseMaster de l’autre main et là, la corde rompit et nous emporta. J’avais si peur que je crus que j’allais lâcher avec la vitesse. Les prisonniers faisaient un bruit démoniaque avec la fuite de NoiseMaster et je pariais que cette prison très bien gardé n’allait pas nous laisser filer aussi facilement. Au moment où nous avions atteints les premiers étages, essoufflés par la peur et la course folle, nos regards se levèrent sur de nombreux mastodontes qui n’allaient pas nous laisser fuir aussi facilement. Non, pas aussi près du but, pitié…Ils saisirent Noise Master d’une part et moi d’une autre. Je baissais le regard, impuissant, mais une autre puissance allait répondre à ma détresse. Des fils se construisaient entre les gardes, brillants d’un bleu cyan et coupants comme des rasoirs. Un glitch se forma et une personne en sortit tout sourire pour réaliser ce qu’il appelle : Un Génocide. Je ne savais pas si je devais le remercier ou hurler : Rosso allait sincèrement chercher à me tuer, Nova la première. Le Sang commença à couler et je ne vous décrirais pas la scène de combat tant les attaques d’Error sont macabres actuellement, comme si il avait besoin de me faire souffrir d’une façon intéressante, par la haine que me porteront les Rossois. Je fuyais avec Noise Master sans me retourner, la peur au ventre et la honte dans ma tête. Si Ink n’a pas pu l’arrêter, il y avait certainement une raison. Les deux me semblent aussi puissants l’un que l’autre….