Des merveilles au-delà de la peinture [Quête]

Elucia : Capitale de Giallo et des arts en tout genres. Il n'y a pas un recoin qui n'est pas animer dans cette ville. Ma main me faisait toujours mal et j'avais peur que des gens découvrent mon pouvoir et m'emprisonne. Les murmures du premier vortex résonne toujours en moi tandis que je rentre dans un bâtiment majestueux:

Des tableaux venant des quatre coins de Yume no Sekai y était entreposés, illustrant des paysages réelles ou imaginaires avec un niveau de détail surhumain. Pour une fois que j'appréciais l'art, ma visite se fit interrompre brusquement quand je vis une femme
se faire emporter par la tentacule du Kraken présent sur une peinture. J'avais lu assez de romans pour savoir qu'elle allait mourir d'une atroce façon. Voyant personne réagir à cette événement étrange, je sautai sur le cadre pour me retrouver en pleine mer dans une tempête. L'odeur, le vent, le bruit des vagues qui viennent s'écraser sur la caravelle attaquer par le Kraken. Tout semblait tellement vrai et pourtant mon dos ressentait encore le climat aride de Giallo. Le bateau était trop éloigné pour une seule faille l'atteigne. J'essayais de trouvé un meilleur angle de vue quand mon pied glissa et m'entraina dans cet océan tumultueux.

L’atterrissage fut rude du fait que l'océan était solide. Tout cette univers, malgré le vent soufflant entre mes mains et le bruit des vagues, était une peinture. Telle Jésus Christ je commençai a courir sur l'eau, en direction du bateau, du Kraken et de la demoiselle en détresse. Les vagues me poussait comme me faisait reculer, c'est pourquoi je déchirai une faille pour monter sur le pont plus facilement. A peine sorti du portail je me pris de plein fouet un tonneau lancé par le Kraken, m'envoyant à côté du capitaine du navire. Il voulait tuer le Kraken et moi secourir la jeune femme, alors il me donna son espingole et de quoi tirer trois fois. A peine il me donna l'arme qu'IL se réveilla. Les maux de têtes commencèrent à se faire ressentir, ma main gauche se crispa et il dit :
("Salut Jakobs, je t'ai manqué?")

"C'est pas le moment j'essaye de sauver une fille d'un poulpe énorme."

("Ouais l'éclate tu me laisse prendre le contrôle? Promis j'essaye de tuer personne.")
"Non,(S'il te plait?). Tais toi,(Allez Jakobs).
JAMAIS! (Je te rappelle que tu es contaminé donc vaut mieux faire amis-amis avant que j'ai le contrôle total)"

"Monsieur vous allez bien?"

"Oui, juste une migraine passagère. (Oh crois moi je suis incurable.)"

Espérons qu'IL se lasse et retourne se coucher.

La fille était bien évidemment percher hors de portée d'une faille et je pense que les trois balles vont rien faire à cette créature immense. J'armai un premier en direction de son œil droit. Angle de tir parfait, je tire et IL décide de prendre le contrôle de ma main pour faire un portail en plein sur ma balle.
"Tu veux que je meurs c'est ça?"

("Si tu meurs je meurs donc re-regarde ce que j'ai fais et fait gaffe à la tenta...")

Sa phrase fut écourté par la contre-attaque du Kraken suite au dégâts causés à ses DEUX yeux. La créature n'avait plus que des lambeaux qui lui sortait des orbites et un sang épais noir commença à couler sur le pont tandis que je fis un atterrissage violent sur un autre tonneau.
("...cule. Au fait il commence à lâcher la gamine donc si tu veux pas qu'elle se fracasse sur les vagues la tête la première faut se réveiller. Jakobs? Allo? Oh et puis tant pis j'ai le contrôle. Bon Ok, pour te faire plaisir, je vais aller sauver la fille").

Les anciens mouvements de Jakobs étaient lent et imprécis alors que L'autre créa une faille sans difficulté et ramena la demoiselle direct dans ses bras. Ses cheveux d'or flottaient au vent. Un visage d'ange et une silhouette fine embelli par une robe d'un blanc éclatant. Cette scène fut écouter par une énorme goutte de sang tombant en plein sur la jeune femme et la réveillant.

"Ça part facilement au lavage. Un peu de savon et du vin blanc et le tour est joué."

"Que ce passe-t-il? Vous êtes qui? Où suis-je?"

"On est attaqué par un poulpe de 21 mètres de long dans un tableau magique. Je m'appelle Jakobs "Oculus" Eisenhauer et on doit se barrer d'ici avant que le poulpe tente de nous tuer à nouveau"

Je continuai à porter la demoiselle entre mes bras et courra en direction du cadre. Le poulpe tenta une attaque suicide sur le bateau, entrainant l'équipe et le bateau dans les abysses. On s'élança à tour de rôle hors de cet enfer acrylique pour retourner dans la chaleur et l'odeur de renfermée du Théâtre des Arts.
("Qu'est ce que t'as fais?! Pourquoi on est dehors et pourquoi tu me contrôle?")

"Ah Jakobs mon hôte, t'as raté toute l'action. Je vais te rendre ton corps juste laisse-moi le temps de faire un dernier quelque-chose."

Il arracha le cadre du mur pour ensuite le plier, le tordre, le déchirer, jusqu'à ce que la peinture ressemble à un puzzle mille pièces.

"Que faites vous pauvre fou! Vous avez détruit le dernier tableau vivant au monde!"

Bien sûr Il avait fait ça devant une dizaine de personnes et vu les habitants, la nouvelle va vite faire le tour de Giallo avant même que midi sonne.

"Gardes! Attrapez ce scélérat!"

"Jaboks t'es sûr tu veux ton corps? Jakobs?"

("Débrouille-toi je le reprends dès que t'auras semer la garde")

"Non, s'il te plait reprend le. (Non). Aller! (Je t'entends pas). Ah ils ont des épées, JAKOBS!"