''My name is Stain'' [Terminé]

Mon roi, pouriez-vous être mon porte manteau ?

Un bon coup pour envoyer au tapis son adversaire sans qu’il n’y ait de représailles. Il faut tout de même ajouter que la flèche plantait dans mon épaule ne me faisait pas que du bien. J’entendais les pensées de chacun, mais aussi les pensées de ce roi sans respect envers ces combattants, sans respect pour son compagnon venant de se faire mettre au sol d’un coup de corde à linge. La direction, le plancher et je pense que lui aussi devrait se méfier, car c’est ce qu’il risque de lui arriver. Ici nous sommes tous égaux, Ultimes, rois, aventuriers, débutants, voyageurs et même touristes, tout le monde peut remporter cette victoire. Aujourd’hui, je peux me relâcher, mon rôle de grand manitou est au placard, je suis un chevalier, un aventurier ne voulant vivre qu’amusement et aventure. Je ne céderais pas la place de vainqueur à quelqu’un qui ne daigne pas commencer le combat en même temps que tout le monde. Mais passons, j’ai d’autres chats à fouetter, si vous voyez ce que je veux dire. Nous n’étions pas encore certains qu’elle ne se relève une dernière fois et tente à nouveau quelque chose.

Sincèrement, la Créatrice m’aurait informé plus tôt que j’allais sauver quelqu’un d’une flèche et qu’elle se jetterait sur moi ensuite pour une quelconque raison, je ne l’aurais jamais cru. Et voilà que cela arrive. Dommage pour elle, lire dans les pensées est ma spécialité, les attaques par derrière ne fonctionneront pas sur un être tel que moi. Ce n’est pas donné de pouvoir atteindre le grand squelette, mais pourquoi ne pas tenter l’aventure n’est-ce pas ? Pour le moment je m’en sortais indemne, mais je ne peux me permettre de tout esquiver à la fois. Parfois, des rencontres se font sans que vous ne le pensiez. En me dégageant du plaquage de la jeune femme que je venais de secourir, j’ai heurté par mégarde la jeune torche qui se tenait là. Le serveur et moi-même eurent un rapide "regard" l’un vers l’autre avant que chacun d’entre nous ne se prépare à tenter quelque chose. Pour ma part, je réfléchissais surtout à comment atteindre quelque chose qui n’est pas consistant, le feu n’est pas à prendre avec des baguettes, des coups violents seraient surement plus utile. Malheureusement, je ne suis pas un surhomme, ma force ne dépasse pas celle de mon corps, je ne peux pas projeter une rafale de vent violent avec un simple coup de poing. J’étais donc dans de beaux draps quand un autre aventurier dans un état secondaire me bouscula. Ni d’une ni deux, j’en profitais pour le repousser tout d’abord avec la force de mes bras, puis de le dégager plus loin encore avec un coup de pied directement dans son derrière.

Deux ou trois secondes s’étaient déroulé pendant ce temps. Je tournais mon regard à nouveau vers la jeune torche et heureusement que j’ai de bon reflex. Sur l’instant, j’ai surtout vu deux talons se propulser directement vers moi et je n’ai pas réfléchit. Mon corps s’est moue d’une façon si simple dans cette position si différente du corps humain. Mon dos se courbait en arrière en même temps que les flammes embrassaient le ciel au dessus de moi. Courber jusqu’à avoir le dos à l’horizontale au sol, je me relevais ensuite lorsque celui-ci était passé. Un long sourire témoignait de mon engouement à cette bagarre, je me sentais revivre depuis ma rencontre avec le roi de Nero, Morino Ryoushi. Je me tournais vers le jeune serveur après avoir éviter son attaque.

« Tu pensais pouvoir m’avoir aussi facilement ? »

Quelque chose sentait le brûler. Je tombais le regard en direction de ma cape pendante sur le sol, celle-ci avait prit feu. Oh merde, oh merde, oh merde, il faut que je fasse quelque chose et vite moi. Dans une course à la réflexion, je courrais dans tout l’édifice, les flammes mordant ma cape me poursuivant toujours, j’avais presque envie de crier au feu les pompiers, venaient vite me sauver, mais j’aurais été ridicule car il n’y a pas de pompier ici, et surement peu de personnes ne doivent savoir de quoi il s’agit. Prenant par ailleurs plusieurs coups sur mon passage, de léger tout de même il ne faut pas déconner, j’arrivais devant le comptoir où se trouvait les deux jeunes dirigeants. D’un côté la jeune femme jaune et de l’autre le jeune dictateur orange. C’est une bataille d’ivrogne n’est-ce pas ? Donc pas le choix et pas vraiment d’autres solution. Ma pauvre cape va devoir en faire les frais. Derrière le roi d’Arancioni, je plaçais ma cape sur son visage alors qu’elle brûlait encore, la détacha pour qu’il s’enroule à l’intérieur et se brûle avec si il pouvait. Il va me servir de porte manteau le temps que j’arrive à mettre un terme à ce combat. Je regardais la taverne, combien de personne encore debout ? Plusieurs mais cela se calmer doucement, les plus dangereux sont donc le jeune troll, sa jeune compagne et le jeune flambé. Une véritable explosion dans ma tête se fit, des calculs en masse mais je devais faire vite. La seule solution trouver fut de récupérer le tabouret du roi qui se trouvait encore à côté pour m’élancer dans la direction de l’enfumer et le fracasser avec d’un bon coup sur la tête. Espérons que cela fonctionne, même si je n’y crois pas véritablement.

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#1 'Dé d'attaque' :


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#2 'Dé de défense' :

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#1 'Dé d'attaque' :


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#2 'Dé de défense' :

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'Dé d'action' :

La chaise dans les dents, un son strident, mes oreilles grisaient de douleur avec cette note si fausse que j’en mourrais intérieurement. Je ne suis peut être pas bon chanteur mais la musique c’est quelque chose que j’affectionne et avec lesquelles j’ai nombreuses affinités. Pour passer sur ce détail, la bagarre à l’intérieur de la taverne se terminait doucement alors que le feu emprisonnait le combattant. Le son ainsi que les flammes firent reprirent aux buveurs saoul ensorcelé par le chant du robot leur plein esprit. La taverne allait surement s’écrouler d’elle-même dans les quelques secondes qui vont suivre. Pas de temps à perdre, il faut déguerpir d’ici au plus vite. La chute de la taverne risque de créer un souffle puissant qui éjectera avec les flammes les plus petits d’entre nous. Pas le choix, je ne peux pas faire mon héro ici mais je ne vais pas laisser quelqu’un mourir ici par ma faute.

Dans ma fuite pour ma vie, j’embarquais avec moi le corps de la demoiselle chat que j’avais violemment éjecté au sol plus tôt. Il fallait bien que quelqu’un lui sauve la vie dans un moment pareil. Vu que la porte serait surement condamnée par le nombre de personne qui sont entrain de s’enfuir par celle-ci, je prends mon élan avant de foncer vers l’une des fenêtres encore intacte, on se demande pourquoi, peut être l’ai-je fais exprès de viser celle-ci pour plus d’élégance et plus de classe. Je brise le verre avant d’atterrir plus loin dans l’herbe, roulant sur le sol et protégeant le corps de la femme chat. Avant d’être un chat, c’est une aventurière avant tout, je ne peux lui en vouloir pour ces quelques mauvais pas. J’ai bien pardonné à pire, tournant le regard lorsque j’étais dans le rôle de l’ultime squelettique.

Déposé doucement dans l’herbe, loin du souffle de flammes qui se produisit quelques moments après notre sortie, elle pouvait respirer normalement, ces blessures ne sont pas trop graves. Je n’aurais pas besoin de l’utiliser, cette bague que j’ai forgé, l’une des premières créations alchimiques que j’ai essayé, on peut dire que c’était très difficile mais j’y suis finalement arrivé après plusieurs années. Un dernier regard vers la dépouille et les ruines de cette taverne, j’aimerais faire quelque chose mais je n’en ai pas le droit. Je pars donc sur la route de la tour de cristal, là où je pourrais me reposer après autant de temps passé en dehors de mon chez-moi à partir pour l’aventure. Après une semaine sans dormir, j’ai bien besoin d’une bonne sieste moi. Doucement, mon corps humanoïde, le chevalier en armure ressemblant à un aventurier de Bianchi, disparut pour laisser place à une longue cape déchiré sous laquelle se cache un squelette aux mille farces qui peut être un jour vous fera rire malgré votre chagrin.

[HRP : Dead part vers la tour de cristal et quitte cette aventure. J'ai donné un moyen à tout le monde de quitté le RP vu qu'il semblerait que de toute façon tout le monde termine.]

En plein dans la tête, mange ça mécréant! La bougre en était déboussolé pour quelques secondes.

"C'est MA proie, enculé!"

Soudain, un son horrible se fit entendre. On aurait dit une sonorité d'instruments Faels ou Humains, mais en encore pire, telle une lame auditive venant torturer les tympans de Luthian et semblant remplir son crâne entier. Elle se recroquevilla sur elle-même en tentant de se boucher les oreilles du plat de ses mains, réduisant un peu l'effet du barde premier prix qui n'allait pas tarder à se prendre un silex dans l'oeil.
Puis le son s'estompa, et elle se releva pour regarder ce qui se passait autour d'elle. Le type qui s'était pris le tabouret était déjà en train de prendre la poudre d'escampette en emportant la femme-chat inconsciente. La Faelle ressentit du dégoût: le viol en bonus du meurtre et du pillage c'est une chose, mais faire ça avec cette erreur de la nature, voilà qui devenait un petit peu moins génial.

Elle tilta alors: cet homme n'était pas le seul à fuir, et à raison. Tout prenait feu! Elle n'y avait même pas fait gaffe. Plus loin, ceux qui tentaient de maîtriser Raclaw prenaient leurs jambes à leur cou également.

"Haha, couilles-molles! cria celui-ci en se tenant tant bien que mal à un mur. Fuir un combat contre un seul ennemi, mais quelles baltringues!"

Luthian sauta alors du comptoir sur lequel elle était juchée et trotta jusqu'à lui pour lui dire de sortir. En jetant un coup d'oeil autour de lui il comprit pourquoi, et ne se fit pas prier. Alors que de nombreux clients obstruaient l'entrée, le Thorran prit son élan, chargea et percuta de plein fouet la masse de monde pour expulser tout ce petit monde à travers la porte de force. Et cela marcha: le bouchon fut défait, lui et sa soeur passèrent au dehors, juste avant que l'entrée ne s'effondre, achevée par le choc. Certains étaient encore bloqués à l'intérieur, mais ils allaient cuire, ce qui les rendait inintéressants à manger pour les deux bourrins.

"Bon bah... Plus qu'à partir.
-Ho que non bande de petits cons! hurla la propriétaire de la taverne, qui avait réussi à sortir. Vous m'avez foutu tout ce bordel avec vos conneries, et vous n'allez pas partir en me laissant comme ça ça c'est moi qui vous le dit!"

Raclaw et Luthian échangèrent un regard avec les visages parfaitement neutres, pendant que la vieille femme commençait à frapper le torse du colosse avec son chiffon tout en parlant de plus en plus vite.

"Et mon pauvre petit kiki est mort aussi! Le pauvre était si gentil et vous avez voulu le manger non mais ça va pas dans vos têtes mais qui vous a élevés il était si gentil mais gentil comme tout il était ma seule véritable compagnie depuis que je suis arrivée dans ce monde car mon mari n'a pas pu me suivre et nos enfants adoraient les chats et kiki me rappelait mes enfants et ma famille et il était tout ce que j'avais si gentil oui si gentil bande de barb..."

Raclaw prit la tête de la femme entre ses deux mains et lui brisa la nuque d'un mouvement sec et rapide. Crac. Le corps tomba dans l'herbe avec un bruit sourd.

"Bah le voilà notre casse-croûte!
-Hur hur, légitime défense comme certains disent."

Raclaw ramassa le cadavre et le porta sur son épaule en s'éloignant. Tous les autres clients étaient déjà loin. Tous? Non, car un de ceux qui résistaient encore et toujours à la carbonisation en étant piégés à l'intérieur poussa de grands appels à l'aide désespérés alors que les deux barbares s'éloignaient. Mais ils n'y prêtèrent aucune attention.

Le fait que nous étions dans une bagarre d'ivrogne se voyait bien, les coups étaient donnés dans l'unique but de faire du mal et non avec de l'honneur pour gagner le combat. Heureusement, Aéris avait été là pour me retirer ce blouson en feu de la tête et pour tenter de me rattraper, certes, elle n'a pas réussit, mais je vois ici qui sont mes vrais amis. En parlant de cela, il faut que l'on parle tout les deux le plus vite possible des relations entre Arancioni et Giallo qui semblent à un point plus que mort... Il faut remédier à ça, les ressources naturelles sucrée du royaume des artistes fait luxe à Arancioni, et avoir plus de nourriture dans notre cycle fait que les gens sont plus enclins à enfanter plus, plus d'habitant, plus de soldats et plus de scientifique... Je ne sais que dire, sinon qu'Arancioni montrera bientôt sa supériorité à tout Yume No Sekai au travers d'une merveille crée des mains du peuple, ds mains d'hybride fortes et puissantes.

Je me relevais alors que tout le monde choisissait la fuite, en passant, je voyais aussi les deux cibles de Maximilienne tuer la petite vieille propriétaire, était-il à ce point sans honneur ? C'était le genre de chose qui me dégouttait, déjà qu'un combat de ce genre n'a rien à voir dans un bar publique, tuer une mami est encore pire. Il n'y a bien entendu qu'une seule chose à dire à propos de cela, les autres royaumes sont terriblement laxistes, ils sont faibles et ne savent pas tenir leur peuple, l'armée d'Arancioni sera la plus discipliné de toute, il le faut.

Maximilienne était sauvé par mon agresseur et Aéris prenait aussi sa poudre d'escampette, ni vu ni connu, j'utilisa mon aptitude à me téléporter dans les ombres des individus pour aller à coté de Maximilienne et commencer à la porter pour le chemin retour. Avec en fond, une taverne en feu s'écroulant sur elle même.

[HRP : Je quitte le rp aussi]